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Les Tribus du Maroc

Les tribus du Maroc

Le peuple marocain est composée par une multitude de tribus dont les points communs sont la croyance religieuse et l'appartenance à la même histoire qui a fa&ccidil;onné le pays.

Voici une liste non exhaustive des tribus qui sera incessamment mise à jour :

Ait Atta

tribu (..)

ait Warayne

Grande tribu berbere installée dans le Moyen-atlas , dans une région allant du sud-est de Taza jusqu'à Sefrou.
Ses principales factions sont :
- Oulad Benali ;
- ait Jlid Assen ;
- Tayda ;
- Ahl atholouth ;
- Mghila;
_Ezzrarda...

ait waryaghel

tribu (..)

Amazighes

Ce n'est pas vraiement une tribu. Mais un "peuple"!.
Les Berbères ou Amazighes sont un ensemble d'ethnies autochtones d'Afrique du Nord ayant ou non des points communs entre elles ( langues, habillements, coutumes, musiques , organisations sociales , origines ethniques...) selon l'espace géographique où ils vivent.

Ils sont répartis sur près de cinq millions de kilomètres carrés — depuis le Maroc jusqu'à l'ouest de l'Égypte (Siwa) — en différents groupes, ayant une culture et une langue commune (le berbère ou tamazight), déclinée en plusieurs dialectes locaux. Cette partie de l'Afrique du Nord a longtemps été désignée en français par le terme de Berbérie ou Barbarie, et les Berbères sous le nom de Maures.

Beni Hssen

C'est une tribu arabe installée dans la région du Gharb.(...)

Beni Yeznassen (ou Iznassen)

celle ci est constituée de quatre grandes fractions
*ait khaled à AHFIR et régions
*ait menquch et ait ahthik au centre
*ait urymech au nord
Les Monts Iznassen sont situés au nord-est du Maroc. C’est une région qui s’étend de la frontière algérienne (rivière Kiss) jusqu’au fleuve Moulouya à l’ouest. Ils dominent une vaste région de plaines : Trifa au nord et Angad au sud. Autrefois, les forêts y étaient très denses. L’abondance de l’eau dans ces montagnes a favorisé dans le passé la fixation. Des populations dans des villages. Ces montagnards berbérophones ont développé une société basée sur l’agriculture grâce à la culture en terrasse (Tiwlawin en berbère).

L’origine des Iznassen est mla définie… Y a-t-il un lien entre le qualificatif « Iznassen » et le mot « zénète » ? Certes, les Iznassen parlent un dialecte amazigh zénète mais cela ne permet pas d’affirmer ce lien. Le zénète est l’un des deux branches linguistiques de l’amazigh à côté de « Senhaja » et « Masmouda ». Il se prolonge dans les parlers du moyen Altlas oriental (Ayt Warayen, Ayt Seghrouchen) et ceux des oasis sahariens (Figuig). Il est aussi parlé par les populations des montagnes au sud d’Oujda : Bni Bou Zeggou (région de Laâyoune) et Zekkara (région de Jrada). Ce parler se trouve aussi chez les Imazighen de l’Aurès, du Mzab et de l’Algérie occidentale (Ayt Snous, Chnawa…). Le parler d’Iznassen fait actuellement partie du groupe Tarifit puisque ses locuteurs et ceux des autres parlers du Rif se comprennent sans trop de difficultés.

La confédération des Iznassen est constituée de quatre grandes fractions : Ayt Khaled au sud des monts Iznassen (Ahfir et régions), Ayt Menquch et Ayt Ahtiq au centre et Ayt Uryemech au nord pas très loin de fleuve Moulouya.

Ces deux dernières décennies, les villages des monts Iznassen se sont vidés de leur population au profit des villes. Ceci est surtout dû à l’acquisition des montagnards des terrains se trouvant dans la plaine et à la sècheresse et la paupérisation des montagnards où la vie est devenue difficile après l’abandon de l’agriculture.

La première fraction a donné naissance à la ville d’Ahfir. Les deux suivantes à celle de Berkane. La dernière se trouve dispersée entre Aklim, Boughriba et Berkane. Une partie d’Iznassen s’est installée à Oujda et laâyoune.

Branes

Les tribus Branes sont ont comme voisins du nord et de l'Est les tribus amazighophones Gzennaya et comme voisins au nord-west les tribus amazighophones Ayt Ammart et à l'ouest les arabophones de Marnissa.

Chleuhs

Les Chleuhs ('Acel?i', pluriel 'Icel?iyen') sont un peuple berbère habitant le Haut Atlas, l'Anti-Atlas et la vallée du Souss, au sud-ouest du Maroc. Ils parlent le chleuh (tachelhit), l'un des trois principaux dialectes berbères marocains.

A quelques minutes, à vol d'oiseau, des foules de Marrakech, Ouarzazate et Agadir, les Chleuhs vivent repliés dans les vallées du Haut Atlas. Ces hautes vallées à l'accès très difficile sont pourtant habitées, entre 2 000 et 3 000 mètres d'altitude, par les Chleuhs, de rudes montagnards qui vivent depuis des siècles en quasi-autarcie. Austères mais tolérants, ces pasteurs oubliés sont, pour le pèlerin occidental, les gardiens de la foi islamique.

Selon un ouvrage d'Auguste, leur nom, d'origine arabe, viendrait du berbère aclu? (pluriel icel?en), qui signifie « natte en jonc, en alfa ou en palmier », dont on tissait les tentes.

Chrarda

C'est une tribu arabe installée dans la région du Gharb.(...)

ghomara

Le pays Ghomara sur la côte méditérannéene dans les environs de Ichawen (Chaouen) jusq'aux régions de Targuist; dont un ilôt amazighone persiste encore. Les Ghomara sont une fraction des Imesmouden (Masmouda).
D'autres études donne à cette tribu une origine purement arabe.....

Ghyata

Tribu installée dans la région de Taza, composée de deux parties principales:
- Ghiata proprement dit;
- Beni Ouajjan.
Les principales factions de cette tribu sont:
- Ahl Boudriss ;
- Ahl Addaoula ;
- Ahl Al Ouad ;
- ahl Essoudouss ;
- Beni Boukitone;
- Beni Bouyahmed;
- Beni Mjara;
- Beni Mtir ;
- Mjassa;
- Ouled Ayyache ;
- Ouled Hajjaj;
Et Les principales factions de Beni Ouajjan sont:
- Ahl Tajlt;
- Beni Snane ;
- Beni Zliten ;
_ Mterkate .

Houara

D'après les historiens les Houara sont des berbères zenètes installés par les Merinides en tant que tribu guich pour controler le Sous. Il semblerait qu'ils étaient déjà fortement arabisés ou complètement dès leur installation dans le Sous.
Les Zénètes (d'où sont issu les Mérinides) étaient des tribus berbères nomades, ils furent les premiers à s'arabiser au contact des Maquil et autres Banu Hilal...
On retrouve les Houara cités par des auteurs comme Ibn Khaldoun, El Idrissi ou El Bekri comme des tribus berbères et dispersé un peu partout dans le Maghreb et même en Andalousie...

Lahyayna

tribu (..)

Les Meçmouda

Parmi les branches de cette grande famille, on remarque les Brghouata, les Ghomara, et les peuples de l’Atlas. Pendant une longue série de siècles, Les Mesmouda ont habité le Maghrib El-Aqca...

...Les Ghomara sont restés sur leur territoire actuel, au moins depuis les premières invasions muslmanes...

Précédemment, Ibn Khaldoun établit que les Ghomara sont une branche des Mecmouda : ‘Ce qui prouve, dit il, que ce peuple appartient à la race macmoudienne, est le fait que quelques unes de ses tribus, qui habitent entre Ceuta et Tanger, portent encore le nom Macmouda. C’est méme d’elles que le Qasr El Medjaz, où l’on s’embarque pour Tarifa, a tiré son appellation de Qasr Masmouda’.

L’ancien Qasr Masmouda, ou Qasr el Medjez, est appelé aujourd’hui El Qasr Sghir, par opposition à Qsar Ketama, ou Qsar Abdelkrim, appelé El Qsar el Kbir. Il n’y a plus entre Tanger et Ceuta de tribu portant le nom de Mecmouda. Cette région porte aujourdhui le nom d’Andjera, mais les Andjera appartiennent au coff Ghomari et les Ghomara, comme nous l’avons vu, sont une branche des Macmouda. La seule tribu du Nord marocain qui porte encore le nom de Mecmouda est celle dont nous nous occupons...

Source:
Quelques tribus de montagnes de la région du Habt / par Michaux-Bellaire.

les Zemmours

tribu (..)

Maqil

tribu (..)

Marnissa

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Mzab

Ensemble de tribu de l'Est de Chaouia . Ses Principales factions sont :
_ Beni Brahim;
_ Mniâa;
- Mellal;
- Oulad Faress.
Son chef-lieu est Ben ahmed.

Rifains

Les Rifains (singulier Arifi, pluriel Irifiyen) sont un peuple berbère habitant le Rif, au nord du Maroc. Le langage rifain fait partie de la famille des langues berbères.

De tradition païenne comme les autres Berbères (adoration du dieu de la guerre « Gurzil », de la pluie « Anzar »...), les Rifains adoptent l'islam tout en sauvegardant certaines de leurs particularités culturelles (tatouages berbères, superstitions d'origine païenne...). La région du Rif est lentement islamisée les Rifains sont à présent musulmans .

La survivance encore aujourd'hui de la langue rifaine doit beaucoup à l'isolement de l'influence étrangère grâce notamment, à la barrière géographique constituée par les chaînes montagneuses et à la tradition orale préservée.

Pendant très longtemps le fonctionnement de cette région était de type tribale.

En raison d'un certain "délaissement" , des centaines de milliers de Rifains ont émigré vers l'Europe occidentale, notamment vers les Pays-Bas, le nord de la France, la Belgique et l'Allemagne.

Senhaja

La subdivision khaldounienne des Berbères en trois grands groupes, les Senhajas (Izenagen), les Zenatas (Izenaten) et les Masmoudas (Imasmuden), correspond encore aujourd’hui à une réalité linguistique. Car la proximité linguistique est évidente entre les parlers des groupes classés par Ibn Khaldoun sous chacune de ces appellations.

Ces trois groupes sont représentés dans la chaîne rifaine, les Jbalas et Ghmaras héritiers des Masmoudas à l’ouest, les Senhajas au centre et les Rifains héritiers des Zenatas à l’est.

Tsoul

tribu instalée au nord-ouest de Taza, Ses principales factions sont :
- Beni frassen;
- Beni Lent;
- Beni Majdoul ;
- Qraoua;
- Tchouka ;
_ Ouelad Ech-chrif ;
_ Ouled Zoubir ;

-

Zayanes

Les Zayanes (berbère : singulier Azayi, pluriel Izayen) sont une tribu berbère de la région de Khénifra, dans le Moyen Atlas central, au Maroc.

Les Zayanes sont également appelés Imazighen, ce dernier nom désigne également l'ensemble des Berbères.

Les tribus zayanes sont réputées pour leur attachement à la terre ancestrale et pour leur ténacité guerrière, surtout lors de la colonisation sous la conduite de Mouha ou Hammou Zayani. C'est ainsi qu'ils ont empêché les colons de s'emparer facilement de Khénifra. Malgré la défaite française dans la bataille d'Elhri, le 13 novembre 1914, les stratèges de la colonisation furent déterminés à ne pas abandonner la lutte contre les Zayanes, qui constituent une poche de résistance contre le colonisateur. Ce bastion de la rébellion inquiétait les troupes françaises qui au début la campagne du Maroc (1907-1914), évitaient d'entrer en confrontation directe avec le contingent des Zayanes.

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